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CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A SAINT LEU LA FORET

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CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A SAINT LEU LA FORET

Région : Île-de-France

Département : Val-d'Oise

Arrondissement : Argenteuil

Canton : Domont

Intercommunalité : Communauté d'agglomération Val Parisis

Maire

Mandat : Sandra Billet

2017-2020

Code postal : 95320

Code commune : 95563

Spécialiste de création de sites Web

Création de sites Web pour les Saint-Loupiens

Création de sites Internet, sites Web, développement et référencement.

Population : 15 072 hab. (2014)

Densité : 2 865 hab./km2

Développement de Sites Web

Coordonnées : 49° 01' 02- nord, 2° 14' 47- est

Altitude : 84 m

Min. 57 m

Max. 191 m

Superficie : 5,26 k

Code postal:             95320

Création de sites Internet, sites Web, développement et référencement. estimée: 15 243

 

SITE INTERNET :    http://www.saint-leu-la-foret.com

 

Saint-Leu-la-Forêt est une commune française idéale pour créer et développer son entreprise. Vous y trouverez des conseils, consultants, coach, avocats, comptables...  du Val-d'Oise située en vallée de Montmorency, à environ 20 km au nord de Paris. Ses habitants sont les Saint-Loupien(ne)s. Saint-Leu-la-Forêt s'étend sur une superficie de 526 hectares dont 146 hectares de forêt. Son altitude est de 65 m dans la plaine, de 84 m au niveau de la mairie, de 170 m au niveau de la Châtaigneraie et de 190 m au lieu-dit les Sapins brûlés en forêt de Montmorency. Histoire : La ville comporte de nombreuses sentes, qui étaient destinées autrefois à la circulation des habitants entre les jardins (se référer au passé vinicole, fermier et maraîcher de la commune) ou aux lépreux. La cité n'a d'abord été qu'une clairière de bûcheron et l'on ne sait rien de son histoire au Moyen Âge, période à laquelle il existait une maladrerie au lieu-dit La Chaumette. Le village est une seigneurie des Montmorency à partir du xive siècle, puis des Condé jusqu'à la Révolution française. En 1470, la population n'est que de 50 habitants. La ville, dont on voit ici la gare dans l'Entre-deux-guerres, dispose d'une liaison ferroviaire depuis 1876. Au xviie siècle, il y avait deux châteaux à Saint-Leu : en 1645 est édifié le château du Haut à l'emplacement du château seigneurial des Montmorency, puis en 1693 est construit le château du Bas sur le fief d'Ort. Les deux furent acquis en 1804 par Louis Bonaparte, frère de Napoléon Ier, qui fit démolir le plus ancien, le château du Haut, et s'installa avec son épouse la reine Hortense dans le domaine du Bas. Il est enterré avec deux de ses fils Napoléon-Charles et Napoléon-Louis dans l'église de la ville. On peut apercevoir leurs tombeaux dans l'abside, derrière le chœur.

 

Jusqu'en 1951, année de leur transfert à Ajaccio, les restes de Charles Marie Bonaparte, père de Louis, étaient également abrités dans la crypte qui ne conserve plus que le sarcophage du père de la dynastie Bonaparte. Le second château fut rasé après la mort mystérieuse du dernier des Condé, en 1830. L'arrivée du chemin de fer en 1876 modifia la vie du village et accéléra son intégration progressive à l'agglomération parisienne. Saint-Leu doit son nom à l’existence d’une église du XIIème dédiée à Saint-Leu qui fut archevêque de Sens en 609. Puis la Révolution aidant, la commune est rebaptisée. Nouvel état civil donc pour Saint-Leu qui prend le nom de Claire-Fontaine en référence aux nombreuses sources limpides qui sillonnent la colline. Après avoir appartenu à la Seigneurie des Montmorency, le domaine de Saint-Leu passe aux mains des Condé. Puis, déclaré bien national à la révolution, c’est au tour de Louis Bonaparte de l’acquérir. Il s’y installe avec son épouse, la Reine Hortense. Ils en seront expulsés, après la chute de Napoléon, sur ordre de Louis XVIII. Le Prince de Condé en profite alors pour récupérer son bien. Au XIVème siècle, Saint-Leu est réuni au hameau voisin Calmeta. Déjà, à cette époque, la commune possède un château. Au XVIIème siècle, ce sont deux châteaux qui sont recensés sur le territoire communal. Ces deux châteaux sont acquis sous le Premier Empire par Louis Bonaparte qui décide de détruire le plus ancien, dit "château du haut". Le second subira le même sort après la mort mystérieuse du dernier des Condé en 1830. En 1806, Taverny est accolé à Saint-Leu, les deux communes ayant fusionné. Puis, Saint-Leu s’enrichit d’un nouveau nom et, non du moindre, puisqu’elle devient, en 1852, Napoléon-Saint-Leu-Taverny, appellation qu’elle conserva jusqu’en 1870 pour reprendre alors le nom de Saint-Leu-Taverny. Intercommunalité :  La commune a rejoint le 1er janvier 2009 la communauté d'agglomération Val-et-Forêt. Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le 4 mars 2015 un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment « l'extension du périmètre de la communauté d'agglomération Le Parisis aux communes de Frépillon, Saint-Leu-la-Forêt, Le Plessis-Bouchard, Ermont et Eaubonne ». Cette fusion intervient le 1er janvier 2016 et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération Val Parisis. Lieux et monuments : Saint-Leu-la-Forêt ne compte aucun monument historique classé ou inscrit sur son territoire. On peut néanmoins noter :

 

L'Église Saint-Leu-Saint-Gilles, rue du Général-Leclerc : Elle fut édifiée en 1851 sur ordre du prince Napoléon, futur Napoléon III et consacrée en sa présence. Elle remplaça une construction antérieure du xviie siècle, qui avait été consacrée le 7 novembre 1690. Cette dernière avait remplacée à son tour l'église primitive du xiie siècle, située sur les hauteurs en forêt de Montmorency et démolie en 1686. La façade principale sud-ouest avec le portail marque le début de l'avenue de la gare et est la seule façade pourvue d'une ornementation : les autres murs donnent sur des ruelles ou sur des propriétés privées. L'architecte Joseph-Eugène Lacroix s'est inspiré d'églises italiennes de plan basilical, et plus particulièrement de la basilique Saint-Apollinaire-le-Neuf de Ravenne. Un grand portail avec un archivolte plein cintre et un tympan garni d'une mosaïque donne accès à la nef. Des portails plus petits flanquent ce portail principal des deux côtés et s'ouvrent sur les collatéraux. La partie supérieure de la façade de la nef avec son pignon est ornée de cinq arcades plein cintre, dont les trois au centre comportent des fenêtres.

Le clocher-tour bien distinct de son bâtiment principal est placé devant la façade latérale nord-est. Son second étage est doté de deux baies abat-son gémelées par face, surmontées d'un gable avec une horloge. Autour du larmier entre le premier et le second étage, les murs sont décorés de moulures dans le style de la Renaissance italienne. L'église abrite dans sa crypte les tombeaux de quatre membres de la famille Bonaparte. La Maison consulaire, 2 rue Émile-Bonnet : Ce bâtiment de style classique date du début du xviiie siècle et tient son nom d'un séjour très probable de Napoléon Ier alors qu'il était Premier Consul. Pendant la Première Guerre mondiale, la maison est utilisée comme hôpital militaire annexe et soigne en cinq ans plus de deux mille poilus. C'est aujourd'hui une propriété Population, hébergeant des services de la mairie. Croix du Prince de Condé, 78 rue du Château : Érigée en 1844 par le sculpteur Faugenet d'après les plans de l'architecte Leveil, elle rend hommage à Louis VI Henri de Bourbon-Condé, trouvé pendu le 27 août 1830 à l'espagnolette d'une fenêtre de son château de Saint-Leu. Il n'avait pas supporté l'exécution de son fils unique Louis Antoine de Bourbon-Condé sur ordre de Bonaparte, dans les fossés du château de Vincennes. Bien que l'enquête policière conclut au suicide par pendaison, des rumeurs accusent la seconde épouse du prince, Sophie Dawes, baronne de Feuchères. C'est pour cette raison qu'elle vend le domaine du château, qui est morcelé et transformé en lotissements.

La croix marque exactement l'emplacement de la chambre du dans laquelle le Prince fut retrouvé pendu.

La Fontaine du moissonneur, place de la Forge : Elle fut édifiée de 1893 à 1895 et remplaça une précédente fontaine datant du xive siècle. La statue du moissonneur symbolise le travail agricole, celui de la plupart des habitants du village d'alors. Lavoir de l'Eauriette, rue Kléber : Ce lavoir est construit en 1873 à la suite de l'aménagement du réservoir de l'Eauriette, qui permet d'alimenter six bornes-fontaines, deux autres lavoirs et la fontaine de La Pissotte. Le petit bassin rectangulaire est protégé par un édicule en charpente qui repose sur quatre poutres aux angles. Seul le fond est fermé par un mur. La Fontaine de Boissy, rue de Boissy : Elle a été édifiée à la fin du xixe siècle et fut initialement entourée d'un édicule à fenêtres ogivales néogothiques. Ce dernier fut démoli au cours des années 1990 et remplacé par un simple mur en meulière. L'eau fortement sulfatée de la fontaine était réputée posséder des vertus thérapeutiques contre les maladies des reins ; la fontaine est aujourd'hui tarie. Le Château de La Chaumette, rue de la Forge / rue du Général-de-Gaulle : en cet ancien hameau du nom de Calmeta, s'élève ce château néoclassique de 1869, remplaçant un édifice identique de 1806 détruit par un incendie. Le nom vient d'une léproserie attestée en ce lieu dès 1237, devenu hôtel-Dieu au xvie siècle. La grille d'entrée en fer forgé porte les initiales « AB » pour Anselme-Henri Bocquet, qui fit reconstruire le château en 1869. Il reste une demeure familiale jusqu'en 1947, puis est vendu aux Sœurs Maristes de Saint-Prix, qui y installent leur école. La Gare de Saint-Leu-la-Forêt : Le bâtiment-voyageurs de 1923 est l'œuvre de l'architecte Gustave Umbdenstock. L'architecture d'inspiration néo-normande avec un décor de colombages et briques est aujourd'hui disparue sous l'enduit. Restent comme éléments distinctifs, le haut pignon de la façade sur la ville surmontée d'un petit beffroi et de son horloge. Les sculptures d'Aristide Patsoglou : Des œuvres de cet artiste local ornent l'entrée de la bibliothèque et le local de la police Population.

 

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Constituants des pages. La structure et le contenu, en HTML ou en XHTML. La présentation avec les feuilles de style CSS. Le graphisme par découpage et intégration des images GIF, JPG, PNG, MNG. Le comportement en Javascript qui sera géré côté client par le navigateur. La navigation et l'échange de données par l'intermédiaire du protocole HTTP et l'utilisation de Web Service ou d'AJAX. L'animation en Flash ou en SVG, et depuis fin 2014, avec certains attributs du CSS3 ainsi que l'utilisation du Canvas avec le Javascript. L'incorporation de multimédias. Le dynamisme au niveau de la gestion de contenu se fera côté serveur avec des langages de développement de type PHP, Java, ASP,... fonctionnant avec un serveur Web. La plateforme Node.js permet la création de serveur web en Javascript, ainsi le dynamisme se fait en Javascript que ce soit côté client, ou serveur. Dans le cadre d'un SITE INTERNET d'entreprise, le web design est défini selon les objectifs qui lui sont fixés : SITE WEB corporate : l'objectif premier est de développer la visibilité de l'offre et de la marque. Les sous-objectifs fixés au web design sont la validation de la lisibilité de l'identité de la société, l'amélioration de la qualité du trafic (plus profond), la facilitation de création d'un capital relationnel entre les visiteurs et le SITE WEB (donc l'entreprise, optimiser les temps de réponses des pages. SITE INTERNET e-commerce : l'objectif premier est de transformer les visites en ventes. Le premier KPI affecté au web design est la réduction du taux d'abandon du panier (63 % en moyenne). Landing page : l'objectif d'une atterripage est de capter un visiteur pour des sous objectifs diverses : alimenter une base de données mail de suspects, de prospects, de demande de contact pré-qualifiées... trois tâches sont affectées au web design : temps d'accès, cohérence du message entre celui qui capte le visiteur et celui de la landing page dans un objectif d'avoir un maximum de trafic intéressé, adaptation du formulaire de saisie à la cible visée pour avoir un nombre minimal d'abandon de formulaires. Un SITE WEB, ou simplement site, est un ensemble de pages web et de ressources reliées par des hyperliens, défini et accessible par une adresse web. Un site est hébergé sur un serveur web accessible via le réseau mondial internet ou un intranet local.

 

Les principaux moteurs de recherche, tels que Google, Bing et Yahoo !, utilisent des robots d'exploration pour trouver des pages pour leurs résultats de recherche algorithmique. Les pages qui sont liées à partir d'autres pages indexées du moteur de recherche n'ont pas besoin d'être soumises car elles sont trouvées automatiquement. Le Yahoo! Directory et DMOZ, deux grands annuaires qui ont fermé respectivement en 2014 et en 2017, ont tous deux requis une soumission manuelle et un examen éditorial humain. Google propose Google Search Console, pour laquelle un flux Sitemap XML peut être créé et envoyé gratuitement pour garantir la recherche de toutes les pages, en particulier celles qui ne sont pas détectables en suivant automatiquement les liens  en plus de leur console de soumission d'URL. Yahoo! ex., elle exploitait un service de soumission payante qui garantissait le coût de l'exploration au coût par clic, mais cette pratique a été abandonnée en 2009. Les crawlers de Search Engine peuvent regarder un certain nombre de différents facteurs en rampant un site. Toutes les pages ne sont pas indexées par les moteurs de recherche. La distance des pages du répertoire racine d'un site peut également être un facteur déterminant si les pages sont ou non explorées. Aujourd'hui, la plupart des gens effectuent des recherches sur Google à l'aide d'un appareil mobile. En novembre 2016, Google a annoncé un changement majeur dans la façon d'explorer les sites Web et a commencé à rendre son index mobile d'abord, ce qui signifie que la version mobile de votre site Web devient le point de départ de ce que Google inclut dans son index. Le référencement est l'action de référencer, c'est-à-dire mentionner quelque chose ou y faire référence. Ce terme est utilisé dans deux contextes bien spécifiques : Sur Internet, le travail de référencement consiste à améliorer le positionnement et la visibilité de sites dans des pages de résultats de moteurs de recherche ou d'annuaires. Le référencement web s'articule autour de deux stratégies distinctes et complémentaires : le référencement naturel (ou organique) et le référencement payant (ou liens sponsorisés)