WEBMATIQUE

Besoin de conseils... 06 20 40 30 26

CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A VERT LE PETIT

Remise EXCEPTIONNELLE réservée aux entreprises de VERT LE PETIT
Votre entreprise est porteuse d'un projet de création de site internet ? Nous avons le plaisir de vous informer que notre agence de création de Sites Web vous offre une remise de 10% sur la facture finale de votre projet de création de site ou votre opération de référencement Google. Pour bénéficier de cette offre, il vous suffit de nous appeler ou de remplir le formulaire ci-dessous et de noter le code remise suivant : KDO10%                                             Vous pouvez maintenant remplir le formulaire ci-dessous :

 

CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A VERT LE PETIT

Région : Île-de-France

Département : Essonne

Arrondissement : Évry

Canton : Ris-Orangis

Intercommunalité : Communauté de communes du Val d’Essonne

Maire

Mandat : Laurence Budelot

2014-2020

Code postal : 91710

Code commune : 91649

Spécialiste de création de sites Web

Création de sites Web pour les Vertois

Création de sites Internet, sites Web, développement et référencement.

Population : 2 781 hab. (2015 en augmentation de 5,5 % par rapport à 2010)

Densité : 407 hab./km2

Développement de Sites Web

Coordonnées : 48° 33' 04? nord, 2° 21' 58? est

Altitude : Min. 47 m

Max. 77 m

Superficie : 6,83 km2

 

SITE INTERNET :    http://www.mairie-vertlepetit.fr

 

Vert-le-Petit est une commune française idéale pour créer et développer son entreprise. Vous y trouverez des conseils, consultants, coach, avocats, comptables...  située à trente-quatre kilomètres au sud de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Vertois. Vert-le-Petit est située à trente-quatre kilomètres au sud de Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, onze kilomètres au sud-ouest d'Évry, sept kilomètres au nord de La Ferté-Alais, dix kilomètres au sud-est d'Arpajon, onze kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes, douze kilomètres au sud-est de Montlhéry, dix-huit kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt, vingt kilomètres au nord-est d'Étampes, vingt kilomètres au sud-est de Palaiseau, vingt-six kilomètres au nord-est de Dourdan. Ver parvum en 1315, Ver Minus, Val petit en 1590. L'origine du nom du lieu provient de l'appellation Valpetit, contraction de l'expression Vers-le-petit-val. Vert représente une corruption du mot gaulois vemos (aulne). La commune fut créée en 1793 avec son nom actuel. Depuis le début du siècle, Vert le Petit, gros bourg rural, a toujours eu une population atypique du fait du rattachement au village des centres du Bouchet. Véritable baromètre du dynamisme d’une ville, la Spécialiste de création de sites Web est un critère très important. Aussi les résultats de chaque recensement sont toujours très attendus, ils permettent d’avoir un instantané à un moment bien précis de la vie de notre communauté. Au 08 mars 1999, Vert le Petit compte 2422 habitants presque également répartis : 1233 femmes et 1199 hommes, soit une densité de 355 habitants au km². La population est en forte hausse par rapport au recensement précédent. En neuf ans, depuis 1990, la commune a gagné 397 habitants ; depuis 1975, 606 habitants et en un siècle, 1573 habitants. Elle a presque triplé sa population. En 1901, une densité de 124 habitants au km² était déjà très remarquable pour l’époque dans une région essentiellement vouée à l’agriculture. ctuellement, l’identité du village se schématise ainsi : Vert le Petit fait parti de l’arrondissement d’Evry, du canton de Mennecy. Code Postal : 91710 Département : Essonne Région : Ile de France. Les armoiries de la commune ont été crées en 1988. Elles ne répondent pas strictement aux lois héraldiques mais veulent plutôt symboliser le sens que les Vertois veulent donner à leur commune.  La première partie : d’azur, au poisson et aux quatre ondes fascées d’argent, symbolise la vocation piscicole de la commune dont un cinquième du territoire est recouvert d’étangs créés au siècle dernier par l’extraction de tourbe dans la vallée de l’Essonne. La deuxième partie : de sinople au lion de sable symbolise Abraham Duquesne, lieutenant général des armées navales de Louis XIV qui fut à la fin de sa vie seigneur de Vert le Petit. En réalité, les armoiries de Duquesne sont : d’argent, au lion de sable, lampassé et armé de gueules. La présence de vert dans les armoiries de la commune est une référence transparente à son nom. La troisième partie : de gueules, aux épis de blé en faisceau en pal, d’or, symbolise la vocation agricole de la commune dont la moitié du territoire est occupée par des cultures céréalières.

 

En 1637, Pierre Boucher, contrôleur de l’artillerie, sieur d’Essonville (à Brétigny), acheta le Bouchet à la famille Tambonneau avec les privilèges qui s’y rattachaient, en particulier le droit de haute justice. En 1640, Pierre Boucher échangea, avec le prieuré de Longpont, des biens qu’il possédait à Brétigny contre ce que les moines détenaient à Ver le petit dont certains droits féodaux. Il réunit ainsi en une seule main, les fiefs du Bouchet et de Verlepetit. Quelques années plus tard, il acheta les biens de la famille Jacquelot dont ce qui composait le fief Sainte-Catherine. Ainsi, à partir du milieu du xviie siècle, les différents fiefs de la paroisse furent tenus par des laïques. À la fin de l'année 1652, pendant les troubles de la Fronde qui ravagèrent la région, Pierre Boucher décéda. Il était alors criblé de dettes. Sa succession, saisie, en particulier tout ce qu’il possédait à Vert le petit, fut adjugée par décret, à messire Roland Gruyn, fils d’un riche cabaretier parisien, mais noble parce que « secrétaire du Roi », charge anoblissante et déjà détenteur de fiefs à Verlegrand.

 

En 1658, messire Roland Gruyn obtint du roi Louis XIV, l’érection de ses différents fiefs, en « baronnie du Bouchet-Valgrand ». Verlepetit devint, à cette occasion : Valpetit, du moins dans les divers documents émanant des seigneurs. Pour les Petits-Vertois, et pour longtemps encore, ce fut toujours : Verlepetit. Le nouveau baron fit réaliser d’importants travaux d’amélioration au château et dans le parc de celui-ci. Puis quelques années plus tard, il revendit « la baronnie du Bouchet avec ses circonstances et dépendances » au prince de Conti et à sa femme, Anne Martinozzi, une des nièces du cardinal Mazarin. Le magnifique château du Bouchet-Valgrand, que l’on comparaît, à l’époque au premier Versailles, construit dans un superbe parc de 60 ha, n’a pourtant jamais été une demeure à laquelle se soit attachée une famille. Il s’agissait plutôt d’une résidence campagnarde, pour de riches et puissants seigneurs possédant déjà un grand hôtel particulier à Paris, qui ne firent que de courts séjours au Bouchet avant de revendre l’ensemble de la baronnie. Le plus célèbre des propriétaires de cette époque (mais pas le plus riche, loin de là) fut Abraham Duquesne, lieutenant général des armées navales à qui, une royale dotation de 300 000 livres permit d’acquérir la baronnie du Bouchet-Valgrand, en récompense des « éminents services » rendus à sa majesté Louis XIV qui, pour les mêmes raisons érigea la baronnie en marquisat du Quesne. Mais, malgré ses mérites ainsi reconnus, Abraham Duquesne ne fut jamais promu amiral, parce qu’il était protestant en un temps où il fallait être catholique. C'est pour cette raison qu'en 1688, lors de son décès, il fut enterré quelque part, dans le parc de son château du Bouchet, sans aucun monument funéraire. Après sa mort, ses héritiers ne purent pas conserver la propriété. Elle fut revendue quelques années plus tard à Marc-Antoine Bosc, beau-frère d'Henri Duquesne, le fils aîné d’Abraham. Lui non plus n’en resta pas très longtemps propriétaire, ses biens ayant été saisis pour dettes. En 1720, Le Quesne fut vendu, une nouvelle fois, par décret en cette année. Le nouvel acheteur, Claude Lebas de Montargis, bénéficia, lui, du titre de marquis du Bouchet-Valgrand. Plus attaché, semble-t-il à son domaine que certains de ses prédécesseurs, il reprit une politique d’extension de son marquisat. À son décès, en 1741, celui-ci s’était accru des Renouillères à Saint-Vrain, de l’Épine à Itteville et de la ferme de Montaubert à Verlegrand. Par le mariage de sa petite-fille, Anne Claude Louise d’Arpajon avec un membre de la famille Noailles-Mouchy, le marquisat du Bouchet entra alors dans le patrimoine de celle-ci. En 1784, le château, inhabité depuis des années, fut vendu par la famille Noailles-Mouchy et démoli.

 

Celui-ci fut bien évidemment marqué par les deux guerres mondiales, compte tenu en particulier de l’existence de l'important centre militaire que constituait la poudrerie nationale. Pendant la guerre de 1914-1918, ce furent 5 000 travailleurs, autant femmes qu’hommes, qui produisirent, au Bouchet, des quantités énormes de poudre et de munitions pour les besoins du front. De 1920 à 1940, sans pour autant interrompre totalement la fabrication de munitions classiques, l’établissement orienta une grande partie de son activité vers de nouvelles technologies liées à l’hypothèse d’un conflit où seraient mis en œuvre des procédés chimiques, biologiques et bactériologiques. Pendant cette période, l’emprise des terrains utilisés pour les besoins de la poudrerie et de la station d’essais atteignit 100 ha. Dans le même temps, les étangs de Vert-le-Petit devenaient le paradis des pêcheurs de la région. De 1946 à 1971, dans une enclave de la poudrerie du Bouchet fut exploitée l'usine du Bouchet, la première usine française de traitement de minerai et de raffinage et conversion de l’uranium. Dans les années 2000, la commune est connue par l’existence sur son territoire de plusieurs établissements, au Bouchet, tant de recherches que de fabrication de produits à haute valeur ajoutée qui regroupent un peu moins de 800 personnes (au lieu de 1 200, il y a une vingtaine d’années). Elle est connue aussi par le site pittoresque de la vallée de l’Essonne, dont une bonne partie, propriété de la commune, accueille, surtout à la belle saison, de nombreux promeneurs et randonneurs. La population (environ 2 500 habitants au recensement de 1999) ayant pratiquement triplé en un siècle, le taux d’emploi sur place s’avère maintenant très insuffisant et le village a tendance à devenir une commune-dortoir parmi d’autres. Le 29 juillet 2010, le conseil municipal est dissout en Conseil des ministres

 

AUTRES VILLES VOISINES POUR CREER SON SITE INTERNET:

CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A BALLANCOURT SUR ESSONNE 91610

CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A FONTENAY LE VICOMTE 91540

CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A ITTEVILLE 91760

CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A LEUDEVILLE 91630

CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A SAINT VRAIN 91770

CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A VERT LE GRAND 91810

 

Création de SITES INTERNET, développement de SITES WEB pour votre entreprise ou votre société. Pour créer un site sur mesure pour vendre en ligne ou présenter ses produits. Prototypage - développement de structures métalliques, sous la forme de prototypes de papier ou d'écrans interactifs simples. Ces prototypes sont dépouillés de tous les éléments de look & feel et de la plupart du contenu afin de se concentrer sur l'interface. Inspection de l'utilisabilité - permettant à un évaluateur d'inspecter une interface utilisateur. Ceci est généralement considéré comme moins coûteux à mettre en œuvre que les tests d'utilisabilité (voir l'étape ci-dessous) et peut être utilisé très tôt dans le processus de développement car il peut être utilisé pour évaluer les prototypes ou les spécifications du système. Certaines méthodes communes d'inspection de l'utilisabilité incluent la procédure cognitive, qui concentre la simplicité pour accomplir des tâches avec le système pour les nouveaux utilisateurs, l'évaluation heuristique dans laquelle un ensemble d'heuristiques est utilisé pour identifier les problèmes d'utilisabilité dans la conception de l'interface utilisateur. Un groupe de personnes sélectionnées parcourt un scénario de tâche et discute des problèmes d'utilisabilité.

Test d'utilisabilité - test des prototypes sur un utilisateur réel - en utilisant souvent une technique appelée «think aloud» (protocole à haute voix) où vous demandez à l'utilisateur de parler de ses pensées pendant l'expérience. Le test de conception de l'interface utilisateur permet au concepteur de comprendre la réception de la conception du point de vue du spectateur, et facilite ainsi la création d'applications réussies.

Conception graphique de l'interface utilisateur DU SITE INTERNET - conception de l'interface utilisateur graphique finale (GUI). Il peut être basé sur les résultats développés pendant la recherche de l'utilisateur, et affiné pour résoudre tous les problèmes d'utilisabilité trouvés à travers les résultats des tests. Selon le type d'interface créé, ce processus implique généralement une certaine programmation informatique afin de valider les formulaires, d'établir des liens ou d'effectuer une action souhaitée.

Maintenance logicielle - Après le déploiement d'une nouvelle interface, une maintenance occasionnelle peut être nécessaire pour corriger les bogues logiciels, modifier les fonctionnalités ou mettre à niveau complètement le système. Une fois la décision prise de mettre à niveau l'interface, le système hérité subira une autre version du processus de conception et commencera à répéter les étapes du cycle de vie de l'interface.

 

En 1998, deux étudiants diplômés de l'Université de Stanford, Larry Page et Sergey Brin, ont développé «Backrub», un moteur de recherche qui s'appuyait sur un algorithme mathématique pour évaluer l'importance des pages Web. Le nombre calculé par l'algorithme, PageRank, est une fonction de la quantité et de la force des liens entrants. PageRank estime la probabilité qu'une page donnée soit atteinte par un internaute qui navigue au hasard sur le Web, et suit les liens d'une page à l'autre. En effet, cela signifie que certains liens sont plus forts que d'autres, car une page PageRank plus élevée est plus susceptible d'être atteinte par l'internaute au hasard. Page et Brin ont fondé Google en 1998.  Google a attiré un public fidèle parmi le nombre croissant d'utilisateurs d'Internet, qui aimaient sa conception simple. Les facteurs hors page (comme l'analyse PageRank et l'hyperlien) ont été pris en compte ainsi que les facteurs sur la page (fréquence des mots clés, méta tags, en-têtes, liens et structure du site) pour éviter les manipulations des moteurs de recherche qui n'a pris en compte que les facteurs sur la page pour leurs classements. Bien que le PageRank ait été plus difficile à jouer, les webmasters avaient déjà développé des outils de construction de liens et des schémas pour influencer le moteur de recherche Inktomi, et ces méthodes se sont révélées tout aussi applicables au PageRank de jeu. De nombreux sites se sont concentrés sur l'échange, l'achat et la vente de liens, souvent à grande échelle. Certains de ces systèmes, ou fermes de liens, impliquaient la création de milliers de sites dans le seul but de créer du spam. Le référencement est l'action de référencer, c'est-à-dire mentionner quelque chose ou y faire référence. Ce terme est utilisé dans deux contextes bien spécifiques : Sur Internet, le travail de référencement consiste à améliorer le positionnement et la visibilité de sites dans des pages de résultats de moteurs de recherche ou d'annuaires. Le référencement web s'articule autour de deux stratégies distinctes et complémentaires : le référencement naturel (ou organique) et le référencement payant (ou liens sponsorisés)